Le sport… quel rigolade !

Le sport… quel rigolade !

Ah, le sport et moi, c’est une histoire d’amour houleuse, une comédie pleine de rebondissements ! Je crois bien que le sport est mon ennemi juré, un peu comme ces légumes verts que l’on nous promet comme étant le secret d’une vie saine. Alors, seule face à ce combat, il était devenu impossible de me motiver à faire du sport. C’est alors que je me suis dit : « Pourquoi ne pas franchir le pas et m’inscrire dans une salle de sport ? »

Mais attendez, j’ai décidé d’attendre les Black Friday pour ça, parce que, soyons honnêtes, pourquoi débourser une fortune pour souffrir ? J’ai donc patienté, comptant les jours comme un enfant attendant Noël. Le jour tant attendu est enfin arrivé, et là, feu d’artifice ! Offres alléchantes, réductions de folie, et moi, comme une petite folle, je me suis précipitée vers la salle.

J’ai pris un coach, pensant qu’avec un expert à mes côtés, je pourrais conquérir ce monde bizarre où les gens s’épuisaient à soulever des poids. Le pauvre homme a dû croire que je venais juste pour le spectacle, car je dois l’avouer, ma première séance ressemblait plus à un numéro de clown qu’à une session de fitness. Imaginez les haltères qui glissent entre mes doigts moites ou ce moment où j’ai tenté de faire une pompe… disons juste que ma tentative a été plus proche du sol que du ciel !

Ensuite, il y avait l’achat des fameuses baskets et du jogging. Mon dieu ! Qui aurait cru qu’il fallait être capable de tenir une conversation avec son reflet avant de se décider ? Seul devant le miroir, j’essayais de cacher cette petite voix intérieure qui murmurait : « Regarde-toi, tu es ridicule ! » Mais qu’importe la mode, il faut souffrir pour être belle, non ?

Finalement, me voilà, prête à affronter ce nouveau défi. J’ai promis à mon coach de donner le meilleur de moi-même, même si cela signifiait ressembler à Bambi sur la glace à chaque nouvelle machine. Qui sait, peut-être qu’un jour le sport et moi, on finira par se réconcilier. En attendant, je continue à rire de mes propres mésaventures, parce qu’après tout, le sport, c’est juste une grande rigolade, n’est-ce pas ?